L’idée est de comparer les génotypes, les données biométriques (taille, poids, RGS et fécondité) et les histoires physiologiques (taux de croissance) et environnementales (origine larvaire et habitat juvénile) des toutes les dorades femelles récoltées pour l’objectif 3. En effet, ces dorades se seront, en principe, déjà toutes reproduites comme mâle puis comme femelle et seront toutes nées entre 2008 et 2011, période pour laquelle nous disposons de la signature chimique exacte des otolithes de dorades en zone marine côtière et dans les principales lagunes de la région (Mercier et al. 2012, Tournois et al. 2013). De ce fait, ces individus serviront à combiner toutes les informations issues des objectifs 1 à 3 pour enfin relier la fitness individuelle (survie jusqu’à l’âge adulte x fécondité) avec le génotype de croissance et l’histoire de vie (zone de ponte, type de lagune fréquentée au stade juvénile, taux de croissance annuels depuis la naissance et âges de premières maturités sexuelles mâle et femelle).